Participants : 56

 Météo :
 Bel après-midi printanier
 

   Distance : 
 gr.1 : 12 km 
  gr. 2 : 9 km 

Dimanche 10 avril 2011
 

 Les SENTIERS du NEUHOF



 Guides : Albert ROTHACKER et Roger IMMLER
 

 


Après un petit voyage en car, 46 courageux débarquent devant le restaurant Oberjeagerhof dans la forêt du Neuhof. Une dizaine de randonneurs, venus en voiture particulière, nous y attendent sur place.
 


Alors qu’un petit groupe, sous la houlette de Suzanne et André Kuntz part de son côté,  le gros de la troupe, s'engage dans une marche plus bucolique que sportive sur les beaux chemins de la forêt, déjà totalement en verdure.

Nous passons devant les étangs de pêche d'Illckirch nichés dans un bel écrin de verdure.
 

Puis Roger Immler nous fait visiter les vestiges des anciens bains municipaux de sa jeunesse, le Schwarzwasser ; nous passons devant les moulins Becker, ou cinq générations du même nom se sont succédées, assurant le gagne pain de nombreux habitants des quartiers voisins.
Notre cheminement nous amène dans le quartier du Stockfeld, classé aux monuments historiques, comportant plus de 500 logements, répartis sur une dizaine de rues et pouvant loger 2500 personnes!

J'insiste pour les non initiés, le Stockfeld n'est pas le Neuhof, on n'y brûle pas de voiture et on n'a pas besoin d'avoir le couteau entre les dents pour s'y promener, les randonneurs présents peuvent en témoigner !

Vers 18 h15, nous finissons notre balade par là où elle a commencée devant le restaurant Oberjaegerhof. Nous y retrouvons le groupe guidé par André et Suzanne.
Fort d'une douzaine de personnes, ce groupe a emprunté d'autres chemins et sentiers de traverse pour monter jusqu'aux poteaux frontaliers, au milieu du Pont Pflimlin, marquant les limites des deux pays, France - Allemagne,

 

Le clou de la journée étant la dégustation des tartes flambées, nos randonneurs toujours aussi courageux et pleins d'entrain, s'installent dans un premier temps pour l'apéro, le temps pour le restaurateur de faire chauffer les fours.

 A 19 h  tapante, les premières tartes arrivent dans un joyeux brouhaha. Le serveur très doué, car seul, se démène non sans mal, pour satisfaire au mieux l'assistance, mais visiblement tout se passe bien.

A la fin du repas, à l'heure des desserts, une tablée de dames, dont on taira par pudeur les noms, non contentes d'avoir marché, et sans doute pour compenser les quelques petits calories laissées en chemin, gravit encore des sommets en descendant force gourmandises.


Vers 20 h30, la troupe rejoint le car pour le retour dans la vallée, avec le traditionnel pourboire au chauffeur durant le trajet. La journée a visiblement été du goût de la plupart des randonneurs qui en redemandent ce qui, bien sûr, doit rester l'objectif principal des organisateurs. (Albert Rothacker)