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Vendredi 24
juillet - les CHUTES d' eau de KRIMML
- Participants : 53 - Encadrement : Roby et Albert - Visite libre à
l'initiative de chacun et chacune
Après les efforts de la veille
et surtout d'avant hier, ce vendredi 24 juillet a été choisi par les
organisateurs à titre de journée de décontraction. Libre donc à
chacun de faire son choix en fonction de ses envies : la destination
proposée étant la cascade de Krimml donnée, avec sa hauteur de 380 m, comme
une des chutes d'eau les plus hautes du monde et en tout cas la plus
haute d'Europe.
70 kilomètres séparent Reith de Krimml.
Roby a fixé à 9 h.00 l'heure de départ afin de laisser suffisamment de
temps pour la visite des chutes. Bernard, notre
chauffeur, a arrêté son car dans la descente du Gerlospass pour nous
permettre d'admirer dans son entité cette longue traînée blanche qui
scarifie la montagne en face de nous.
Arrivés vers 10 h.00. sur le parking à autobus
de Krimml, Roby nous entraîne sans attendre à sa suite au point de départ
du chemin de visite. Le chemin asphalté cède rapidement la place à un
chemin de terre mélangé à du concassé très fermement tassé par les
incessants passages. La pente, malgré les lacets que décrit le
chemin, devient rapidement raide et confirme les avertissements piochés
sur Internet, "attention ça monte !". Les nombreux points de vue et promontoires
d'information aménagés tout au long des 4 kilomètres qui conduisent jusqu'au niveau
supérieur,
nous permettent de reprendre souffle, de nous laisser rafraîchir le visage
par les embruns, tout en admirant la puissance et l'impétuosité de la cascade.
Parfois, comme pour nous encourager, un arc en ciel apparaît au détour d'un
lacet.
Les chutes sont divisées
naturellement en 3 sections : la chute inférieure de 140 m de hauteur, qu'on atteint assez
rapidement en une qunzaine de minutes, suivie de la chute médiane (100 m de
hauteur) qui se situe à plus d'une trentaine de minute de l'entrée et que la majorité des
randonneurs s'était fixé comme objectif aujourd'hui, et enfin la chute supérieure
(140 m)
qu'on peut atteindre après une rude ascension d'une demie heure
supplémentaire. Une bonne quinzaine de randonneurs ont eu le courage de
monter à ce niveau (1465 m). La descente constitue, quant à elle, une rude
épreuve pour les genoux sensibles.
Quelque soit la recherche du reporter à trouver les mots justes pour
décrire le spectacle que nous offre ici "dame nature", il est impossible
de faire imaginer au lecteur la puissance des
sons propagés par l'impétuosité de ce torrent tombant sans
entrave du haut de sa falaise de plusieurs centaines de mètres. Aussi, pour vous
permettre de vous replonger dans cette ambiance j'ai, pour la première
fois, tenté l'essai de créer un lien avec une vidéo (en fait 3 vidéos
accolées) captée par Roland.
En
cliquant sur ce bouton rouge vous pourrez vous croire retransporter,
l'espace d'une minute et demi, sur le sentier au bord
de la cascade
La visite de Mayrhofen nous a
fait entrevoir une pittoresque petite cité qui cherche à se positionner
sur le plan touristique (sans doute avec plus de succès en hiver qu'en
été). En ce qui me concerne, avec Gaby, nous avons profité de cette
"intermède" pour déguster une
bonne blonde, fraîche à souhait. (Gérard A.)
 ou
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